Lu pour vous par Vincent Carter

Par Jean-Luc Kienge Kimbila Président de l’ONG NSCK ( La Nouvelle Socièté Civile du Congo) en exil

KINSHASA — Selon nos sources proche des milieux sécuritaires de la région des Grands Lacs. Des plans d’escalade militaire majeure seraient actuellement étudiés entre la RDC, le Burundi et certains éléments alliés de la région (la Tanzanie).

Ces fuites évoquent la possibilité d’opérations coordonnées impliquant des drones armés depuis plusieurs territoires voisins, dans ce qui pourrait constituer la plus grave crise militaire de l’Afrique centrale depuis deux décennies.

Un basculement brutal vers l’inconnu

D’après ces sources, des drones équipés d’explosifs auraient été positionnés dans plusieurs zones frontalières stratégiques au Burundi, en Tanzanie et même dans certaines zones contrôlées par l’armée congolaise dans l’est du pays.

Si ces informations se confirmaient, elles indiqueraient une volonté manifeste d’ouvrir un nouveau front direct contre Kigali, ce qui serait un tournant historique dans les relations déjà explosives entre la RDC et le Rwanda.

Kinshasa et Bujumbura sous tension extrême

Toujours selon ces mêmes sources, le président Félix Tshisekedi et le président burundais Évariste Ndayishimiye auraient discuté d’une possible riposte régionale face à ce qu’ils considèrent comme une agression persistante du Rwanda via le M23.

Aucun des deux gouvernements n’a pour l’instant confirmé ou démenti ces informations.

« L’heure est grave » — un diplomate africain tire la sonnette d’alarme

Un haut diplomate africain, contacté sous anonymat, résume la situation d’une phrase glaçante :

« Si ce plan se confirme, l’Afrique centrale entre dans son Armageddon. »

La communauté internationale prise de court

Les chancelleries occidentales et africaines seraient en état d’alerte maximale.
Mais une question demeure :

Que va dire la communauté internationale si la région bascule dans une guerre ouverte ?

Pour l’instant, silence radio à Washington, Bruxelles, Londres et Addis-Abeba.

Une poudrière prête à exploser

Jamais depuis la fin de la deuxième guerre du Congo, la région n’avait semblé si proche d’une confrontation directe entre États.

  • Les frontières sont militarisées.
  • Les populations civiles fuient massivement.
  • Les mouvements armés prolifèrent.
  • Les alliances régionales se durcissent.

Le moindre incident pourrait entraîner une escalade incontrôlable.

Conclusion : entre rumeur, fuite et réalité

Il est crucial de noter que ces informations ne sont pas confirmé par les autorités.
Cependant, leur simple circulation démontre le niveau de tension actuel.

Si elles s’avéraient exactes, l’Afrique centrale entrerait dans une nouvelle ère : celle d’une guerre totale, inévitable, et dévastatrice.