Par Vincent Carter

Kinshasa – Selon l’ONG AISTIJ, pendant qu’il purgait sa peine pour avoir agressé deux mineurs à
L’Association Internationale des Survivants de la Torture et de l’Instrumentalisation de la Justice (AISTIJ) demande l’arrestation de Diomi Dongala pour plusieurs viols commis dans la prison de Makala. Alors qu’il purgeait une peine pour le viol de deux mineures à Makala en 2016, Diomi Dongala aurait récidivé en violant une jeune fille de 11 ans de Selembao, La victime, une pauvre jeune fille qui vendait des fruits et légumes dans l’enceinte de la prison à des prisonniers, a été attaquée et violée par ce détenu ( Diomi Dongala).
Makala, Diomi Dongala avait attaquée et violée une pauvre jeune fille de 11 ans de Selembao, qui vendait des fruits et légumes dans la prison de Makala aux prisonniers. La fillette, gravement blessée, ne pouvait plus marcher et saignait de partout.
Après plusieurs années de silence, les parents de la victime ont décidé de contacter AISTIJ pour demander que justice soit faite.
Marié à une Italienne, Diomi Dongala serait devenu maître dans l’art de commettre de tels crimes sur de jeunes filles dans la prison de Makala, sous la couverture du directeur de la prison pendant qu’il purgeait sa peine.
Selon notre enquête, lorsque le cas de la jeune fille de 11 ans de Selembao a eu lieu, la femme italienne de Diomi Dongala aurait vu la mère de la victime et lui aurait versé 10 000 $, tout en emmenant la petite fille à l’hôpital. Le directeur de la prison, pour ne pas alerter les autorités sur cet énième crime, aurait également reçu 10 000 $.
La fillette a subi une perforation de l’utérus, reste malade et ne pourra plus avoir d’enfant.
Diomi Dongala, qui fait partie de l’Union Sacrée et est PCA ou administrateur d’une entreprise d’État, n’a toujours pas été inquiété. L’ONG AISTIJ, qui milite contre la torture, l’instrumentalisation de la justice et pour les droits humains, demande à la justice congolaise de rouvrir une enquête contre Diomi Dongala, l’ancien directeur de la prison de Makala et la femme italienne de Dongala.
Pendant qu’il est libre comme un oiseau à Kinshasa, il est légitime de se demander combien de filles continuent de subir les crimes de ce prédateur (violeur en serie, Diomi Dongala). Procureurs,magistrats avocats et Maitre Kitenge, comminicateur de l’UDPS , il est temps de réagir.et de d’arreter le violeur des nos enfants, Mr Diomi Dongala.
Vincent Carter