Analyse – Félix Tshisekedi fait la honte de la RDC : Quand un État a failli à ses devoirs élémentaires

Par Vincent Carter

Dans un pays normalement gouverné, lorsque des catastrophes naturelles frappent, l’État mobilise ses forces armées pour venir en aide aux populations sinistrées. Les militaires sont alors déployés pour évacuer les victimes, distribuer des vivres, sécuriser les zones à risque et participer aux opérations de secours.
Mais en République démocratique du Congo, sous le régime de Félix Tshisekedi, la scène prend une tournure aussi absurde que scandaleuse.

Lors des récentes inondations meurtrières à Kinshasa, où plus de 35 personnes ont tragiquement perdu la vie, c’est un spectacle surréaliste qui a indigné la nation et choqué les observateurs. Les militaires, censés être des piliers de l’aide d’urgence, ont été eux-mêmes transportés… par des civils ! Oui, vous avez bien lu. Dans le chaos, ce sont les citoyens, déjà accablés par la catastrophe, qui ont porté à bout de bras les forces de l’ordre. Une inversion des rôles à la fois grotesque et révélatrice du naufrage de l’État congolais sous Tshisekedi.

Comment en est-on arrivé là ?
Cette situation dramatique illustre cruellement l’incurie d’un pouvoir tribaliste et corrompu, plus préoccupé par ses combines politiciennes que par le sort de son peuple. Au lieu d’investir dans la formation et l’équipement des secours, le régime préfère s’enliser dans les discours creux et les manœuvres de survie politique.

Ce triste épisode confirme ce que beaucoup redoutaient déjà : Félix Tshisekedi restera dans les livres d’histoire comme l’un des plus grands aventuriers politiques que la RDC ait connus, un homme sans cap, incapable de répondre aux urgences nationales les plus élémentaires.

Ce qui, ailleurs, relèverait d’une honte nationale et déclencherait des appels à la démission, semble malheureusement être banalisé à Kinshasa. Pire, le chef de l’État semble trouver cela normal, affichant une indifférence glaçante face à la détresse des Congolais.

Au final, le peuple retient une leçon amère : la nature, tout comme la colère populaire, finit toujours par se venger d’un pouvoir qui trahit ses devoirs. Félix Tshisekedi, déjà vomi par une grande partie du peuple et discrédité à l’international, ferait bien d’en tirer les conséquences pendant qu’il en est encore temps.
La RDC mérite mieux qu’un régime de honte et d’improvisation.

Vive le Congo libéré !